C´était la journée de la femme. Une bien belle journée que cette journée là. Mais, une journée finalement des plus banale. Une de ces journées dont je ne retiendrai rien de particulier. Une journée comme une autre.
Elles, elles n´étaient pas encore des femmes, juste des adolescentes. Pas tout à fait femmes, mais habitées par la force et l´envie de changer leur quotidien. Ce quotidien, c´est celui du foyer de Virgen de l´Asuncion au Guatemala. Un foyer, un refuge pour mineurs ayant subi des violences familiales. Ce lieu n’a pourtant rien d´un foyer ni d´un refuge. C´est juste un endroit prévu pour 400 enfants et, ou finalement, 800 s´y entassent. 800 enfants, adolescents y subissant encore des abus, encore de la violence, encore des sévices et encore des privations.
Alors, elles ont manifesté pour faire entendre leur voix. Moi, je ne les ai pas entendues. Personnes n’entendra plus jamais la voix de ces 20 adolescentes retrouvées calcinées dans ce foyer.
Elles n’étaient pas tout à fait femmes, juste des adolescentes et avaient encore tant à faire, tant à dire.
J’ai eu des frissons en lisant cette histoire affreuse. c’est chouette de les faire revivre !
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C’est tellement sordide qu’il semble que ce soit une histoire d’un temps lointain pourtant c’est encore d’actualité. Quelle tristesse. Merci pour ton message. Bon dimanche à toi
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Bonjour Stéphanie, je n’étais pas au courant, c’est l’horreur!
Bisous
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M horreur totale
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Je découvre ce drame en te lisant ! je te remercie pour le partage. Je n’ai pas de mots 😦
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On bat des records dans l horreur en ce moment. Merci pour ton message
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Quelle horreur! Je reste souvent sans mot devant de telles tragédies Stéphanie. Merci de continuer à les faire vivre à travers les tiens.
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C est vraiment épouvantable. Merci Marie
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Je n’étais pas au courant du drame dont tu parles, et il est important de penser à toutes ces femmes ou filles qui subissent encore aujourd’hui des violences.
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J ai entendu ça de bon matin à la radio. Quelle horreur
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Merci pour le partage de cet article. Grâce à toi, nous pouvons entendre leurs voix, même si elles viennent de l’au-delà…
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merci Christine. bisous
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